La prochaine fois je viserai le coeur
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Réalisateur : |
Cédric ANGER | ||
Acteurs : |
Guillaume Canet, Ana Girardot, Jean-Yves Berteloot, ... | |||
Genre : |
Policier | |||
Durée : |
1 h 50 | |||
Date de sortie : |
12/11/2014 | |||
Titre original : |
La prochaine fois je viserai le coeur | |||
Note "critique" : |
2,16 | |||
Classement 2014 |
149 / 181 |
Résumé : |
.O xx |
.O Les habitants de l'Oise sont plongés dans la peur par un maniaque qui s'en prend à des jeunes filles. L'histoire vraie de l'affaire Alain Lamare, qui se déroula entre 1978 et 1979. .O. |
Xavier |
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.O. Une sorte de "seven" ou Brad Pitt et Kevin Spacey ne feraient qu'un ? pourquoi pas ! Dès le départ le film démarre mal avec ces 3 pages de texte qui annoncent que les faits sont tirés d'une affaire réelle, que la plus grande partie de ce qui va être montré à l'écran est tiré de compte-rendus officiels MAIS qu'une partie a du être inventé... quoi ? ce serait du cinéma ? ohhhhh... C'est pas grave, on se lance (et oui, c'est pour ça qu'on a acheté une place !) et voilà que démarre un film est insipide au possible avec un Guillaume Canet dans le personnage du gendarme/tueur qui m'a fait pensé pendant tout le film aux caricatures des gars de l'Opus Dei dans les films du type "Anges ou démon" ou "Da vinci code" (je ne sais plus lequel...). La fin, qui nous nous révèle le jugement de l'affaire, ne donne pas envie d'être "contestée" par les deux heures de film. Le coté "on a reconstitué parfaitement l'époque" me laissant indifférent je me suis pris au milieu du film à penser à "Dexter" et je n'ai pas mis plus de 4 secondes à me dire qu'un épisode de la série était souvent cent fois plus intéressant que ce film. |
Première :
¤ ¤ ¤
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Studio / Ciné Live :
# # # # # ou # # |
.O. - Si j'aime, c'est d'abord pour cette histoire effarante de gendarme serial killer, névrosé et autodestructeur, qui enquête sur ses propres crimes. Et pour l'interprétation de Guillaume Canet, dans son meilleur rôle. Froid ou potache, maniaque, cruel ou ému, il est la colonne vertébrale de ce polar. - C'est indéniable mais pour quelles raisons le scénario prend-il aussi peu de distance et de risques, et aborde-t-il ce fait divers de façon aussi platement littérale ? |
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